Il arrive très souvent que l’on soit sollicité pour un devis mais que le prospect/client ne sache pas comment procéder ou de quoi nous avons besoin pour élaborer notre offre.
Voici en quelques mots les informations dont nous avons besoin pour traiter votre demande rapidement et efficacement.
- Type de demande: avez-vous besoin de traduction / d’interprétation / de légalisation / de transcription ? Dans le cas d’une traduction, doit-elle être libre ou certifiée par un expert assermenté ?
- Fichiers: il est impératif pour nous d’avoir le(s) document(s) sous forme de fichiers. Car l’estimation de notre travail se base sur l’évaluation du volume de mots traduire. Sans fichiers, impossible d’évaluer le nombre de mots.
L’idéal est d’avoir des fichiers « éditables » (Word, Excel, PPT,…) car ils permettent une évaluation plus rapide ET de respecter votre mise en page. Mais nous pouvons également traiter des fichiers idml (InDesign) et PDF. Dans le cas de ces derniers, nous vous proposerons alors une solution de recréation de(s) document(s) au format Word avant traduction.
- Langues: c’est la 1ère information qui va impacter notre devis. Quelle est la langue cible de votre projet ? Le prix peut varier en fonction de la rareté de la langue.
- Marché ciblé : si l’on prend l’exemple de l’anglais, il nous faudra savoir si vous ciblez le marché anglais, US ou international pour adopter le bon type d’anglais. Idem pour des langues comme l’espagnol et le portugais, entre autres.
- Délai: votre projet est-il urgent ou pas ? Avez-vous une date butoir ? Cette donnée est importante car elle peut impacter fortement le prix appliqué. Par défaut, si vous n’êtes pas dans l’urgence, nous vous recommanderons notre « délai normal », 30% moins cher que l’urgent, ce qui permet d’optimiser vos coûts. Mais nous pouvons aussi vous proposer différentes offres et vous laisser ainsi la liberté de choisir ce qui répond le plus à vos attentes.
- Tableaux & graphiques : sont-ils à traduire ?
- Style souhaité: souhaitez-vous que notre équipe adopte un style « sourcier » ou « cibliste » ? Dans le cas du « sourcier », le traducteur s’attachera à respecter le plus possible la structure du texte source, tandis que pour un projet « sourcier », le traducteur s’en éloignera pour l’adapter et privilégier le rédactionnel, c’est-à-dire pour faire en sorte que l’on ait l’impression que le texte aura été directement rédigé dans la langue cible, et non issu d’une traduction !